Ah, les fesses ! Ces deux compagnons charnus qui nous suivent partout, s'assoient avec nous et font tourner des têtes – que de pression sur leurs épaules (ou plutôt, leurs rebonds) ! Oui, elles sont devenues une sorte d’obsession moderne. À tel point que pour certains, ce n’est pas la banque qui doit être bien remplie, mais bien… leurs jeans !

Mais comment distinguer un bon vieux fessier naturel d’un popotin façon « coussin amovible » ? Car oui, entre le rembourrage et les implants, la confusion est totale. Imaginez un peu : vous tombez sous le charme d’un magnifique postérieur, puis découvrez qu'il est fait de mousse ! Sacrilège ! Heureusement, voici le guide ultime pour savoir si vous avez affaire à une paire bio, trafiquée ou carrément postiche.

Le test du rebond naturel : la danse des vraies fesses

Commençons par nos fesses « bio » – celles qui dansent au gré des mouvements, en mode samba tranquille, qui ondulent naturellement, sans demander d'effort. La fesse naturelle a sa propre petite vie, elle suit le corps comme un compagnon fidèle. Quand vous marchez, elle prend un rythme. Quand vous dansez, elle a son swing. En clair, si ça ne bouge pas, ça trompe peut-être. Imaginez un popotin qui reste figé pendant un marathon de twerk… Pas besoin d'être détective, là, le doute est permis !

La touche du velours : texture et douceur

Ah, la texture ! La fesse naturelle se distingue par une douceur qui défie toute imitation. On parle ici d'un velouté, presque poétique, à mille lieues de la froideur d'un implant ou de la rigidité d’un rembourrage. Si, lors d’une danse collée-serrée, vous sentez quelque chose qui s'apparente plus à un sac de sable qu'à un nuage de marshmallow, c’est que quelque chose cloche ! La vraie peau a des pores, des petites imperfections charmantes, un relief tout personnel, là où la fausse fesse peut ressembler à une surface plate – la Rolls Royce des objets non identifiés.

Les fausses fesses : un look cartonné au possible

Maintenant, place aux fausses fesses ! Oui, celles qui prennent la forme de deux melons trop mûrs, figés, presque perplexes d’être là. Une fesse « fausse » – silicone, biogel ou autre substance venue de l’espace – aura ce qu’on appelle un effet « bloc ». Elle se fait souvent remarquer par son absence totale de mouvement et par des angles parfois plus pointus que ceux de votre salon IKEA.

La rigueur d’une fausse fesse est palpable à l’œil nu, surtout si elle a été mal placée ou que son porteur a pris l'option « taille XXL pour un effet maximal ». Oui, parce que certains ont tendance à y aller fort sur le volume, créant un effet « super-héros », comme si un fabricant de coussins s’était lâché. Vous reconnaîtrez aussi les fausses fesses à leur fermeté suspecte. Si ça ne bouge pas d'un poil, même lors d’un sprint effréné pour attraper le bus, bingo ! On a sans doute affaire à une fesse d’importation.

Le phénomène des rembourrages : vive les coussinets amovibles !

Ah, le rembourrage… C’est l’option « changement facile » pour les fessiers en quête de volume sans passer par la case bistouri. On en trouve dans tous les styles et matériaux : mousse, silicone, coton – tout y passe ! Ce qui est génial avec le rembourrage, c’est qu’il peut se glisser discrètement dans les sous-vêtements, les pantalons, et même certaines jupes. Un jour, vous avez un popotin d’enfer, le lendemain, vous retrouvez vos petites fesses d’origine sans rien risquer d’autre qu’un effet de surprise pour les proches.

Alors, comment repérer le rembourrage ? Les connaisseurs le savent : si la personne enlève son manteau et que son volume disparaît avec, vous avez votre réponse. En plus, le rembourrage a cette fameuse rigidité – même en mousse, ça reste un peu sec, un peu « paquet de chips ». Et gare aux maladresses ! Il suffit parfois d’un faux mouvement pour qu’un coussinet glisse et dévoile l’étendue du subterfuge. Imaginez la scène en boîte de nuit…

Respect et tolérance : le mot d’ordre

Mais au fond, que vous soyez #TeamNaturel, #TeamFaux ou #TeamRembourrage, sachez qu’il y en a pour tous les goûts et toutes les préférences. Le plus important, c'est de se sentir bien dans sa peau (et dans son rembourrage s’il y a lieu !). Ce n’est pas parce que quelqu’un a choisi un peu de mousse ou un peu de silicone qu’il faut pointer du doigt. Les fesses, c’est un sujet sacré ! Et puis, soyons honnêtes, dans notre monde où tout est retouché, la fesse n’a pas échappé à la règle, c’est tout.

Alors voilà, à vous le regard avisé, un peu de compréhension, et surtout beaucoup d'humour ! Que vous soyez l’heureux propriétaire d’un postérieur bio ou le fier porteur d’un rembourrage bien placé, l’essentiel est de prendre du plaisir à être soi-même… avec ou sans mousse !

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